Le « travail » du cheval n’en est pas réellement un, c’est plus le travail de l’humain pour aborder le cheval qui va être intéressant.
Un cheval sait déjà tout ce qu’on est censé lui apprendre (marcher, s’arrêter, trotter, galoper) et même les figures plus sophistiquées sont naturelles pour lui comme les cabrés et autres levades. Dès le plus jeune âge, il exécute à la perfection tous ces pas de danse…
L’intérêt du travail commun va donc être de réussir à lui demander poliment de le faire pour nous et pour cela, il va falloir se faire comprendre. Là débute la plus belle histoire que nous puissions vivre, la plus belle conquête de l’homme n’est pas le cheval, mais sa confiance.
La Castelleraie 